lundi 18 juin 2018

"Vivre simplement" d' Elisabeth Simard (2)

Le boulet invisible

Je reviens pour vous parler de la suite du livre
ici, vous retrouverez le premier article

Elisabeth parle du "boulet invisible":


《Je voulais désencombrer, je savais que j'avis trop de telle ou telle catégorie d'objets; l'encombrement persistait et ma tolérance aux objets diminuait. Je devais continuer, mais je me sentais coincée 》
 Une idée, parmi d'autre, est d'avoir toujours un sac à disposition dans un coin de la maison pour recevoir les objets qu'on ne veut plus; comme cela on continue de désencombrer sans y penser...

E. parle aussi du cas des objets sentimentaux :

《Il m'est difficile de me débarrasser d'objets à caractère sentimental. C'est de loin la catégorie qui me donne le plus de fil à retordre. J'ai donc attendu d'être bien avancée dans mon processus de désencombrement avant de m'y attaquer, c'est à dire au moment où j'avais appris à me détacher des objets. 

sans oublier le cas de cadeaux...

⟪On aime une personne, encombré de son cadeau ou non. Et je ne suis pas contre les cadeaux! Je suis tout simplement contre l'idée de se sentir obligés de tout conserver .../...
Un chapitre nous explique comment éliminer adéquatement chaque objet, de l'importance à le faire.
Elle nous dit aussi que le désencombrement n'est jamais terminé, qu'une fois la quantité souhaitée atteinte, on se sent à l'aise mais quelques mois plus tard ce sentiment d'avoir encore trop réapparaît et il faut de nouveau désencombrer. C'est pourquoi elle préconise de faire un tri tous les 6 mois; cela n'est bien sûr pas l'objectif ultime. La prochaine étape sera de ne plus avoir besoin de désencombrer de façon régulière, d'avoir atteint un équilibre satisfaisant à long terme. Bien sûr les besoins changent et il faudra toujours un sac à disposition comme proposé avant.

《Je veux une vie où je ne possède que l'essentiel, notre essentiel, rien de plus, rien de moins, une vie où je fais des choix en toute cohérence. 


Il faut faire attention aussi à l'envie d'acquérir de nouveaux objets, qui surgit un jour ou l'autre. Il faut découvrir comment on veut vivre réellement, et s'y engager pour soi. Etre le gardien de ce qui entre chez soi.

⟪Dès qu'on laisse entrer quelque chose, il parait que notre cerveau lui attribue de la valeur, et dès lors il sera difficile de s'en départir. Si, avant d'entrer chez nous, l'objet n'a aucune valeur à nos yeux, ne le laissons pas nous encombrer. Comme je deviens rapidement sentimentale et que j'ai le "au cas où" dans le sang, je me dois être une gardienne de fer...

et avec tous ses conseils,


⟪enfin, je n'ai plus l'impression de traîner un boulet invisible"

suite .....ici







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