vendredi 30 mai 2025

Le syndrome de Diogène

 

La syllogomanie et le syndrome de Diogène, sont des maladies psychologique voir psychiatrique

Ce syndrome comprend, sans s’y limiter, une forme extrême d'accumulation compulsive

Une pathologie qui touche essentiellement, mais pas uniquement, des personnes âgées et qui apparaît, dans un très grand nombre de cas, à la suite d’un choc psychologique comme le décès d’un proche ou un changement radical de situation.


Parmi les cas les plus spectaculaires, on peut citer les frères Homer et Langley Collyer, tous deux décédés en 1947 sous l’effondrement d’un tunnel conçu par leurs soins, à l’aide d’une partie des près de 100 tonnes de déchets retrouvées dans leur appartement new-yorkais. 


Il peut être soigné en totalité, partiellement ou pas du tout.


Ces 3 opérations sont celles-ci


TOTALITÉ 

La patiente sort du dénie, en demandant de l'aide à un réseau de santé, ou elle sera dirigée vers un psychologue et commencera ces premières séances, de la le réseau de santé nous contactera afin d estimer l'état d'encombrement du logement, suite à mon expertise, notre association pourra venir en aide à cette personne bénévolement, sous conditions qu'elle accepte que son logement soit totalement vider, que toutes ces affaires partirons à l'incinération, afin qu une entreprise de nettoyage plus profond puisse intervenir, traitement radical, mais fiable, surtout si la personne est propriétaire des son logement. 


PARTIELLEMENT, puisqu'elle a déjà une amie à qui elle s est confié, lui proposer de faire vider sa maison en plusieurs étapes (1 devis)pour les pièces de vie, (1 devis) pour les sanitaires, et 1(devis) pour les chambres. En commençant par les priorités étalée sur 1 ans, mais attention pas de tri tout par à la destruction obligatoirement. La victime dois comprendre que l'environnement qu elle crée et malsain et indigne pour elle et son entourage. à la suite de cette intervention 1 sur 2 personnes retrouve santé et dignité.


PAS DU TOUT

La personne reste fermée, ne sort pas du déni, pour elle tout va bien faut qu on la laisse tranquille...

HELAS, celle-ci sera retrouvée décédé dans sont logement asphyxiée ou brûlée .


La situation de chaque victime reste différente.

Parfois l intimidation marche, en leurs montrant des vidéos de maison incendies ou des personnes mortes dans les détritus ou en leur montrant des ordonnances de préfecture suite à une dénonciation très souvent appuyer par la mairie, pompiers et gendarmerie. 


S’entourer des bons intervenants 

Ne restez pas seul(e) face au syndrome de Diogène et à son ampleur. Pour aider la personne concernée, entourez-vous des meilleurs intervenants, professionnels de santé, psychologue, psychiatre, infirmiers, curateurs, du maire, du service communal d’hygiène et de santé… lesquels se réuniront régulièrement pour évaluer la situation à vos côtés. 

Des associations pour vous aideront 

Un peu partout en France, les choses s’organisent et les associations sont de plus en plus sensibilisés à ces cas de figure. 


Voici une liste non exhaustive d’associations qui peuvent vous venir en aide :

Diogène Asso : diogene-asso.org

Syndrome Diogène Solutions : syndrome-diogene.org | Tél. : 06 18 99 50 69

Hyensas ESS : iledefrance.fr

Diogène France : diogene-france.fr

Flash 3D Désinfection : flash-3d-desinfection.fr


Vous pouvez également contacter les services sociaux de votre mairie ou du Conseil départemental 
Ils peuvent vous orienter vers des dispositifs d'aide à domicile, des aides financières (comme l'APA), ou des associations locales partenaires



samedi 24 mai 2025

La règle des 90/90

 Vous avez sûrement déjà entendu parler de The Minimalists, un duo formé par Joshua Fields Millburn et Ryan Nicodemus.


Ce sont eux qui ont inventé la règle des 90/90, qui repose sur deux questions très simples : 

Ai-je utilisé cet objet au cours des 90 derniers jours ?

Vais-je l’utiliser dans les 90 prochains jours ? 

Si la réponse est non aux deux questions, alors l'objet est considéré comme superflu et vous il faut lui dire définitivement adieu. 

Seule exception : les objets saisonniers, destinés à une période spécifique de l’année, comme les décorations de Noël ou un beau vêtement à porter pour les mariages.

Si cette méthode fonctionne si bien, c’est parce qu’elle vous évite de tomber dans le piège du « au cas où », que l’on ne connaît que trop bien. 

Et si jamais j’aimais à nouveau ce t-shirt que je n’ai pas porté depuis 3 ans ? Et si j’avais à nouveau besoin de cet ustensile de cuisine, acheté pour une recette bien particulière il y a plus de 6 mois ?

 La règle des 90/90 est implacable et permet de se focaliser sur les objets réellement utiles. 

Il est toutefois possible de faire une (petite) boîte « en attente », pour y placer les biens dont vous doutez encore : si, après quelques semaines, vous n’y avez pas touché, c’est qu’ils peuvent partir !

De plus, la période de 90 jours (soit environ 3 mois) est assez courte pour identifier les items qui traînent en vain, mais à la fois assez longue pour ne pas non plus jeter quelque chose de nécessaire par impulsion. 

Grâce à sa simplicité et son cadre clair, cette règle simplifie la prise de décision, qui est souvent le principal frein à un désencombrement efficace et intelligent.


Et si elle s'applique au désencombrement des biens matériels, la méthode du 90/90, qui est proche de la règle de la minute, peut également s'appliquer dans votre quotidien au travail, puisque c'est de là qu'elle tient son origine. Avec la règle du 90/90/1, comme pour votre intérieur, le tout est de vous fixer un objectif.

Pour par exemple réussir à visualiser laquelle de vos tâches quotidiennes est la plus importante, il suffit de suivre cette méthode imaginée par l'écrivain canadien Robin Sharma : "pendant les 90 prochains jours, consacrez les 90 premières minutes de votre journée de travail à la meilleure opportunité de votre vie. Rien d’autre. Zéro distraction. Juste faire ce projet".

Instantanément, avoir un objectif en tête va booster votre productivité et vous allez gagner du temps sur vos tâches en évitant la procrastination. 


La clé du succès donc, que ce soit en matière de travail ou de rangement de vos placards.

jeudi 8 mai 2025

20 citations minimalistes de Fight Club

 Le roman culte Fight Club, signé Chuck Palahniuk, est depuis longtemps une œuvre emblématique pour les adeptes du minimalisme.



Provocateur et sans compromis, ce livre bouscule nos habitudes, notre confort, notre obsession pour les biens matériels et même notre conception de l’existence.

Ici, pas de limites.

Aucun sentiment n’est épargné.

Mais que reste-t-il une fois qu’on a arraché toutes ces couches de croyances idéologiques dictées par la société ?

Une forme de révélation brute, grinçante, éclatante.


Voici quelques-unes des leçons les plus percutantes tirées de Fight Club !


« C'est ta vie et elle se termine une minute à la fois. »


« Vous décidez vous-même de votre niveau d’implication. »


« Rejetez les hypothèses fondamentales de la civilisation, en particulier l’importance des biens matériels. »


« Tu n'es pas ton travail, tu n'es pas l'argent que tu as en banque. Tu n'es pas la voiture que tu conduis. Tu n'es pas le contenu de ton portefeuille. Tu n'es pas ton putain de pantalon kaki. »


« À l’époque, ma vie me semblait tout simplement trop complète, et peut-être que nous devons tout casser pour faire quelque chose de meilleur de nous-mêmes. »


« Le libérateur qui détruit mes biens se bat pour sauver mon esprit. Le maître qui débarrasse mon chemin de toutes possessions me libérera. »


« Vous avez une classe de jeunes hommes et femmes qui veulent donner leur vie à quelque chose. La publicité les pousse à courir après des voitures et des vêtements dont ils n'ont pas besoin. Des générations entières ont occupé des emplois qu'elles détestent, juste pour pouvoir s'acheter ce dont elles n'ont pas vraiment besoin. »


« Quel type de service de table me définit en tant que personne ? »


« Une maison pleine de condiments et sans vraie nourriture. Si on ne sait pas ce qu'on veut, on se retrouve avec beaucoup de choses qu'on ne veut pas. »


« Tu achètes des meubles. Tu te dis : c'est le dernier canapé dont j'aurai besoin de ma vie. Tu achètes le canapé, et pendant quelques années, tu te dis que, quoi qu'il arrive, au moins, tu as réglé ton problème de canapé. Ensuite, la bonne vaisselle. Puis le lit parfait. Les rideaux. Le tapis. Et puis, tu te retrouves coincé dans ton nid douillet, et les choses que tu possédais te possèdent maintenant. »


Pendant des milliers d'années, les êtres humains ont tout gâché, tout saccagé et tout gâché sur cette planète, et maintenant l'histoire attend de moi que je nettoie les dégâts. Je dois laver et aplatir mes boîtes de soupe. Et comptabiliser chaque goutte d'huile moteur usagée. Et je dois payer la facture des déchets nucléaires, des réservoirs d'essence enterrés et des boues toxiques déversées dans les décharges une génération avant ma naissance.


« Rien n'est statique. Tout évolue. Tout s'effondre. »


« Tu n'es pas spécial. Tu n'es pas un beau flocon de neige unique. Tu es la même matière organique en décomposition que tout le reste. »


« Être licencié est la meilleure chose qui puisse nous arriver. Comme ça, on arrêterait de faire du surplace et on ferait quelque chose de notre vie. »


Mon père n'est jamais allé à l'université, alors c'était vraiment important pour moi d'y aller. Après l'université, je l'ai appelé à distance et je lui ai dit : « Et maintenant ? » Mon père ne savait pas. Quand j'ai trouvé un travail et que j'ai eu vingt-cinq ans, à distance, je lui ai dit : « Et maintenant ? » Mon père ne savait pas, alors il m'a dit : « Marie-toi. » J'ai trente ans et je me demande si une autre femme est vraiment la solution.


« Quitte ton travail. Lance une bagarre. Prouve que tu es vivant. Si tu ne revendiques pas ton humanité, tu deviendras une statistique. »


« Je dis que je ne sois jamais complet, je dis que je ne sois jamais satisfait, je dis que je sois délivré des meubles suédois, je dis que je sois délivré des arts intelligents, je dis que je sois délivré d'une peau nette et de dents parfaites, je dis que vous devez abandonner ! Je dis qu'il faut évoluer, et que les choses se passent comme elles le doivent ! »


« Si vous mourriez maintenant, que ressentiriez-vous par rapport à votre vie ? »


« Un instant était le maximum que l’on pouvait attendre de la perfection. » 


 « Tu te réveilles, et ça suffit. »


dimanche 4 mai 2025

Après 40 ans, ces objets encombrants


La quarantaine est synonyme d'un cap important pour les hommes comme pour les femmes. Un regain de confiance en soi, des goûts plus affirmés et aussi une furieuse envie de liberté. 


Seulement voilà, cette liberté ne se limite pas au dressing ou à la salle de bain. Elle s'invite jusque dans notre déco, nos placards, et même nos souvenirs. 


C'est justement le moment idéal pour faire le tri dans nos vies, et dans nos objets. 


Car certaines choses qu'on pense anodines sont en réalité de véritables boulets émotionnels.




Les vêtements 

On commence fort avec les fringues de nos années lycée ou fac. Pleins de nostalgie, certes, mais ils ne reflètent plus ni notre silhouette ni notre vie d’aujourd’hui.

Même chose pour ces manteaux jamais portés depuis trois hivers, qu’on garde “au cas où”... Spoiler : vous ne les remettrez pas..


Les DVD, CD, et autres vieilleries 

Et que dire des DVD, CD ou manuels d’appareils électroniques ? Sauf à vouloir recréer un musée des années 2000, il est temps de s’en séparer.

Idem pour les câbles “mystère” enfouis dans un tiroir : s’ils n’ont servi à rien depuis cinq ans, ils ne serviront plus.


Les loisirs oubliés 

L’argile auto-durcissante, la peinture numérotée, la couture, la poterie… bravo pour avoir essayé ! Mais si tout ce matériel encombre vos tiroirs, il est temps de tourner la page.

Garder les outils d’un loisir abandonné, c’est laisser la porte ouverte à un passé révolu. On donne, on jette.


Les échantillons 

Autre grand classique : les échantillons. Soins, parfums, crèmes souvent périmés… on en a tous ! En s’en débarrassant, on allège l’espace et on retrouve une routine beauté qui nous ressemble.


Déco, cadeaux et/ou héritage 

Entre les objets hérités par obligation et les éléments de déco stockés pour "un jour peut-être", notre intérieur se transforme parfois en musée personnel, mais sans âme. 

Il est temps de garder uniquement ce qui a du sens


Les livres 

Et enfin, les livres… Sauf si vous visez une immense bibliothèque, ceux que vous n’avez jamais finis ou appréciés n’ont plus leur place. Ce n’est ni minimaliste, ni utile : ça prend juste la poussière.

Alors, triez… et vivez le présent.

 Faites du tri et avancez dans le présent