Après le hygge danois, le lagom suédois, voici le coorie venu tout droit d'Ecosse.
L'objectif est de mener une vie simple mais plaine de sens
L'un des grands principes du coorie, c'est "d'utiliser ce qui est autour de soi pour se sentir bien"
Il se définit d’après Gabriella Bennett, auteure du Livre du coorie, par une scène bien précise :
« En Ecosse, on sait qu’on est en bonne compagnie quand des amis ou des proches vous font une petite place sur le canapé et qu’ils vous invitent à venir faire coorie. Blotti entre eux, vous vous sentez peut-être un peu à l’étroit, mais au moins, vous vous sentez bien. On peut visualiser une pièce très agréable, éclairée par des flammes virevoltantes. C’est dans cet endroit précis que l’on va aller se réfugier ».
En d'autres termes : si vous voulez être coorie, privilégiez les petites choses simples de la vie comme faire du crochet devant la cheminée qui crépite, vous lover sur votre canapé entourée de vos proches ou des membres de votre famille.
Car dans le coorie, il y a aussi cette notion : celle du partage avec les personnes que vous aimez.
Le coorie vise à atteindre un sentiment de plénitude en tirant le meilleur de ce que peut nous apporter l’Ecosse. Le plus ? Pas besoin d’être riche.
Le coorie ne repose pas sur ce que l’on possède. Il relève plutôt de l’art de se préoccuper et se soucier de son environnement. Savoir respecter ce qui nous entoure est primordial à la bonne pratique du coorie.
Un mot d’ordre du coorie : respecter l’Ecosse. Mais loin des stéréotypes. Il ne s’agit pas de tomber dans le cliché du tartan à carreaux, du thé et des petits biscuit.
Et si nous pouvions trouver le bonheur grâce à quelques pratiques et idées aussi simples que l’art du coorie ?
Le but est de rester connecté avec ce qui nous entoure : nos prochains, notre terre natale, pour vivre en accord avec notre environnement et nous-même.