Réflexion trouvé sur le net, traduite de l'anglais :
"Fondamentalement, le minimalisme est en grande partie quelque chose que les personnes aisées peuvent se permettre de poursuivre, car leur richesse offre un coussin de sécurité.
S'ils se débarrassent de quelque chose, ils en ont besoin plus tard, ils l'achèteront à nouveau.
Ils n'ont pas besoin de porter beaucoup d'autre chose en dehors d'un porte-monnaie quand ils sortent; s'ils ont besoin de quelque chose, ils vont juste l'acheter à la volée. Pas de transpiration.
Si vous n'êtes pas si flexible, des doublons de vos possessions peuvent être nécessaires, même si ces sauvegardes ruinent l'esthétisme de posséder seulement 100 possessions."
à méditer.....
Les Minimalistes cherchent le bonheur non pas à travers les choses, mais à travers la vie elle-même
mercredi 27 septembre 2017
mardi 26 septembre 2017
Les minimalistes sont-ils matérialistes ?
Selon l’étymologie, le matérialisme est lié à la matière.
Selon le sens courant, le matérialisme signifie l’attachement aux biens matériels et l’absence d’idéal.
Dans notre société moderne, les matérialistes sont ceux qui achètent, qui sur-consomment, qui s'attachent à leurs acquisitions, qui pensent trouver le bonheur dans leurs achats, ....
Les minimaliste au contraire veulent vivre avec moins d'objets. Ils désencombrent. Ils réduisent leurs achats. Ils n'achètent que ce qui est utile, ce qui apporte une plus-value dans leur vie, et aussi les objets qui leur permettent de vivre des expériences.
Ils ne s’attachent pas aux objets en tant que tels. Ils n'aiment pas les objets mais leur utilité. Si l'objet vient à casser, il suffit de le remplacer ( ou pas).
Le minimaliste aime s'entourer de beaux objets. Il peut passer du temps à la recherche de l'objet idéal(pratique, esthétique, éthique,...). On peut alors se demander si le minimaliste n'est pas un matérialiste déguisé. Il recherche toujours autant le bonheur autour de l'objet. C'est là qu'est le piège. Au lieu de se détacher de la consommation, on ne pense qu’à ça et on devient complètement obsédés.
Le minimalisme est beaucoup plus que le fait de désencombrer et de posséder moins. Si l’apprenti minimaliste ne passe pas à l'étape supérieur, il risque de rester focaliser sur les objets, et ce n'est vraiment pas le but...
Il faut réussir à se détacher de tout ça !
Le désencombrement et le choix de nouveaux objets, est en général la porte d’entrée vers ce mode de vie car la plus tangible et accessible.
Mais si on s’y intéresse vraiment, on se rend compte à quel point ça peut devenir un vrai art de vivre qui touche à toutes les facettes de notre existence : style personnel, alimentation, carrière professionnelle, éducation des enfants, relation aux autres…
L'accent mis sur le désencombrement, du moins à court terme, peut se révéler plutôt matérialiste. Indépendamment de la quantité, se concentrer sur les possessions est le matérialisme.
Nous risquons le plus souvent de minimiser le minimalisme lorsque nous appliquons ses indications pratiques sans embrasser la philosophie de la simplicité dans son ensemble.
Le minimalisme qui a mal tourné peut être une vie également centrée sur les biens matériels, et c'est ce qu'il faut éviter.
Vous avez de meilleures choses à faire avec votre temps.
Concentrez-vous sur votre plus grand but, plutôt que Stuff ou Not Stuff.
jeudi 14 septembre 2017
“Does it spark joy?”
I can’t help but bristle at the phrasing because the question “Does it spark joy?” may actually rob tidying up of its fullest potential in our lives. (becoming minimalist)
Becker suggère que la question de Marie Kondo "est-ce que ça m'apporte de la joie?" n'est pas la bonne question à se poser quand on désencombre, parce qu'elle peut laisser sous-entendre que la consommation d'objets de meilleure qualité par exemple, ou que le plaisir personnels devraient être au centre du processus...
Son point de vue à lui est un peu plus engagé. Le thème sous-jacent de son oeuvre est d'arrêter de nous centrer uniquement sur notre bonheur, notre consommation, et de plutôt requestionner notre rapport individuel à la consommation, pour retrouver du sens dans l'engagement qu'on peut faire envers autrui, la communauté.
Il fait la proposition que si on nous en laisse la chance, la plupart d'entre nous ne sommes pas juste intéressés par notre propre nombril, mais aurions envie de contribuer davantage à un monde meilleur.
Il suggère donc de désencombrer en se posant la question "Est-ce que cet objet contribue à ce que ma vie ait un but plus noble?" ou "Est-ce que cet objet contribue au but le plus noble que je veux donner à ma vie?"...
Tout au long de son livre, il suggère de donner aux bonnes œuvres, de se demander si d'autres que nous qui sont dans le besoin ne pourraient pas faire un meilleur usage de ce que nous avons tendance à garder "juste au cas"...
Il encourage donc à la fois à se libérer des objets qui nous minent l'existence parce qu'ils nous coûtent cher en temps, énergie, argent et solutions de rangements (!) mais aussi qui peuvent servir à d'autres et nous rendre plus heureux dans le don qu'on peut en faire...
explication de Maryline, merci
Becker suggère que la question de Marie Kondo "est-ce que ça m'apporte de la joie?" n'est pas la bonne question à se poser quand on désencombre, parce qu'elle peut laisser sous-entendre que la consommation d'objets de meilleure qualité par exemple, ou que le plaisir personnels devraient être au centre du processus...
Son point de vue à lui est un peu plus engagé. Le thème sous-jacent de son oeuvre est d'arrêter de nous centrer uniquement sur notre bonheur, notre consommation, et de plutôt requestionner notre rapport individuel à la consommation, pour retrouver du sens dans l'engagement qu'on peut faire envers autrui, la communauté.
Il fait la proposition que si on nous en laisse la chance, la plupart d'entre nous ne sommes pas juste intéressés par notre propre nombril, mais aurions envie de contribuer davantage à un monde meilleur.
Il suggère donc de désencombrer en se posant la question "Est-ce que cet objet contribue à ce que ma vie ait un but plus noble?" ou "Est-ce que cet objet contribue au but le plus noble que je veux donner à ma vie?"...
Tout au long de son livre, il suggère de donner aux bonnes œuvres, de se demander si d'autres que nous qui sont dans le besoin ne pourraient pas faire un meilleur usage de ce que nous avons tendance à garder "juste au cas"...
Il encourage donc à la fois à se libérer des objets qui nous minent l'existence parce qu'ils nous coûtent cher en temps, énergie, argent et solutions de rangements (!) mais aussi qui peuvent servir à d'autres et nous rendre plus heureux dans le don qu'on peut en faire...
explication de Maryline, merci
vendredi 8 septembre 2017
jeudi 7 septembre 2017
"comme on déménage, autant prendre plus grand! "
Ah oui quand même ! Bah oui si on déménage autant plus polluer, avoir plus de ménage à faire, avoir plus de places pour stocker des trucs inutiles, payer plus de chauffage, payer plus d'impôts...etc...
Cette phrase est née de la vision linéaire ascendante que toute personne a, comme une marque de réussite sociale ; on prend d'abord un petit appart puis un plus puis une maison puis une villa....car notre habitation doit refléter ce qu'on peut se payer.....et non pas ce que l'on souhaite .
Bien sûr je n’adhère pas du tout à cela, j'ai d'ailleurs choisi de vivre dans un modeste appartement pour ne pas passer mes journée à astiquer ou devoir me payer une femme de ménage et profiter de mon temps et de mon argent autrement.
Et un déménagement est une super occasion pour une Packing Party ?